28 déc. 2013

Français inconscients et insouciants dans leur bulle

Une des raisons pour lesquelles les Français éprouvent autant de difficultés à exporter leurs produits est que pour eux le monde s'arrête à la région parisienne. Réussir une vente à Marseille ou à Lyon relève pour eux de l'export. Mais réussir une vente en Europe devient un exploit.

Les Français relatent dans leurs journaux nationaux que leur principal adversaire, le constructeur italien FIAT a glissé du deuxième au huitième rang européen en 20 ans. Mais les Français se gardent bien de dire que ce même FIAT est entre temps devenu numéro un au Brésil, numéro quatre aux Etats-Unis et numéro sept mondial grâce à l'acquisition du groupe Chrysler.

Les Français croyaient avoir éliminé leur rival FIAT en promettant à celui-ci la possession de la firme Citroen en échange de la vente de sa filiale SIMCA. Le groupe FIAT pensant réaliser une bonne opération avait alors cédé à Chrysler sa succurale SIMCA pour obtenir le capital nécessaire au rachat de Citroen à Michelin. C'est alors que les félons de Français obligèrent la firme Peugeot à reprendre successivement  non seulement la firme Citroen, mais aussi la firme SIMCA.

Après avoir été éliminé du marché français, par la perte successive de Citroen et de SIMCA. le groupe FIAT s'était renforcé par le rachat de Ferrari, de Maserati, d'Alfa Romeo et de Lancia. Après s'être débarrassé d'Innocenti et d'AutoBianchi, FIAT avait lancé la Holding IVECO, qui regroupait FIAT VI, ALFA VI, Magirus, UNIC et OM.. d'un autre côté, FIAT s'était lancé alors à l'attaque du monde avec LADA en Russie et Fiat Automoveis au Brésil. Pour finir, Fiat avait créé le département COMAU, le département Fiat ferroviaria et le Département Fiat Avio.

Les Français envient l'indémodable Fiat 500 et regrettent les succès de Lancia Delta ou des Alfa 75. Les Français achètent cependant des voitures japonaises et des voitures allemandes. De plus les Français utilisent l'injection directe à rampe commune inventée par FIAT. l'entreprise française Alsthom a d'ailleurs racheté FIAT Ferroviaria pour améliorer ses TGV qui ne savaient aller que tout droit, mais n'a heureusement pas pu racheter FIAT AVIO.

Les Français hermétiques à la mondialisation disent qu'il est bien loin le temps du succès pour les marques automobiles du groupe FIAT. Cependant, la filiale américaine de FIAT enregistre une croissance continue depuis 44 mois et la filiale brésilienne de FIAT est première sur son marché depuis plus de 20 ans.
FIAT a créé une deuxième Holding CNH, qui génère des revenus confortables et FIAT a créé une succursale en Turquie qui produit non seulement pour FIAT, mais aussi pour Opel, pour RAM en plus du franco-chinois PSA-DongFeng.

En 1990, La Holding FIAT regroupait déjà les trois marques Fiat, Alfa Romeo et Lancia et occupait le deuxième rang européen en terme d'automobile. Avec 13,6 % du marché, il n'était devancé que par le seul groupe VAG. Mais les temps changent, l'influence de l'Europe diminue et FIAT croit ailleurs. Depuis le début de cette année 2013, la société dirigée par Sergio Marchionne n'a vendu que 6,2% des voitures écoulées en Europe et n'occupe plus que le 8e rang européen, derrière VAG, futur numéro un mondial.

Les Français ne réalisent pas que l'économie se mondialise, que FIAT lutte contre VAG, GM ou Ford sur les marchés Brésiliens, Russe, Indien et Chinois, oû il est en bonne place. Fait révélateur du Fiasco européen, le constructeur de la 500 qui vole de sucès en succès, a vendu en novembre moins de voitures en Europe que sur le seul marché brésilien.


Source : Internet (page actualisée le 28/12/13).

14 déc. 2013

GM/PSA comme FIAT/PSA

L'alliance entre le groupe américain GM avec le groupe français PSA ressemble furieusement à l'alliance entre le groupe américain GM avec le groupe italien FIAT.

Ce sont des conditions économiques moroses, qui avaient contraint le constructeur italien FIAT, comme le constructeur français PSA à rechercher des synergies avec le constructeur américain GM. Tous deux aspiraient à faire des économies en développant des plateformes communes et des moteurs communs avec les filiales européennes Opel/Vauxhall du géant américain.

En 2000, l'américain GM avait immédiatement formé une joint-venture à 50/50 avec l'italien FIAT dans le domaine des châssis et des moteurs, car le yankee était intéressée par les technologie de pointe de l'Italien. Mais en 2011, l'accord avec PSA n'avait débouché sur aucune solution, car le français fournissait déjà MINI/BMW, coopérait avec Ford et avec Mitsubishi.

A l'époque, l'américain GM avait acquis 20 % de la filiale Fiat Auto pour 2.4 milliards, alors que FIAT Group avait pris 5 % de la holding GM. Dernièrement ce même GM avait acquis 7 % du Groupe PSA pour 400 million sans contrepartie et sans clause contraignante.

Des problèmes de trésorerie sérieux avaient poussé tant FIAT que PSA a faire alliance avec GM. mais comme le développement d'une plateforme commune prend au minimum 5 ans, l'alliance franco-américaine de quelques mois est insuffisante pour apporter ses fruits. D'autant plus que la situation de 2013 est beaucoup plus grave que celle de 2000 et GM ne pouvait attendre un hypothétique redressement de PSA

L'alliance entre FIAT et GM avait pris fin lorsque GM avait voulu débaucher les ingénieurs de FIAT et avait voulu faire main-basse sur les brevets et la technologie de l'Italien. Mais le groupe américain, qui dispose de la technologie Common Rail de FIAT, n'a pas trouvé chez PSA de technologie capable d'aiguiser son appétit, elle lui a juste pris le marché iranien, mais pas le marché chinois.

En effet, le groupe automobile français PSA n'a perdu dans son aventure avec le groupe automobile américain GM que son marché iranien et ses alliances ponctuelles avec BMW, FORD et Mitsubishi. Par contre, le groupe automobile italien FIAT avait perdu dans son aventure avec le même GM, non seulement son département ferroviaire et son département aéronautique, mais également ses alliances russes et ses alliances chinoises. Pour survivre, le groupe automobile italien FIAT avait été contraint de racheter le groupe automobile Chrysler aux États-Unis, pour s'ouvrir un accès à ce marché. Le groupe automobile français PSA a d'ailleurs fait de même en y implantant sa filiale FaurECIA.

Le groupe FIAT avait eu la clairvoyance d'inclure une option contraignante de rachat dans son alliance Italo-américaine, au cas où les choses tourneraient mal. Bien lui en a pris, car l'Italien avait perdu des plumes dans son avemture avec l'Américain, mais avait obtenu 2 milliards de dédommagement. Cette manne bienvenue en temps de crise lui avait permis de reprendre immédiatement le contrôle de FPT et dernièrement le contrôle de VM.

Source : Internet (page actualisée le 14/12/13)

13 déc. 2013

GM se débarasse de PSA

GM développe OPEL et les horlogers de la Chaux-de-Fonds peuvent pousser un grand OUF de soulagement, car le groupe américain GM stoppe la commercialisation des coréennes DAEWOO sous la marque CHEVROLET en Europe. En effet, les horlogers de la Chaux-de-Fonds n'avaient jamais digéré de voir le nom d'un enfant du pays sur une voiture coréenne. Accessoirement le groupe décide également d'abandonner sa participation de 7% dans le constructeur PSA en faillite. Il se sépare ainsi d'un canard boîteux en Europe et laisse le champ libre au chinois DONGFENG pour le rachat du groupe français en faillite.

Ce fut une cascade de mauvaises décisions, qui avait conduit le groupe automobile français sur la voie de la faillite. Le rachat de Citroen (ex-Michelin) à FIAT, le rachat de SIMCA (ex-FIAT) à Chrysler furent des manifestations d'orgueil chauvin, mais de mauvaises opérations financières. La vente de Berliet et de Maserati, ainsi que l'arrêt de SIMCA et de Panhard démontrèrent un manque de vision à long terme. La non-exploitation de concepts novateurs tels la carrosserie en aluminium, le monospace ou le SUV furent des erreurs stratégiques. Faire durer l'horrible 2CV et faire naître l'hideuse AMI6 a durablement terni l'image de marque de Citroen. Par contre, l'abandon de la SM, de la CX et de la GS, développées avec FIAT, pour ne pas faire de l'ombre aux Peugeot correspondantes a détruit le haut de gamme Citroen. La 604 a empêché la fabuleuses SM de percer et la merveilleuse CX d'avoir un V6. La splendide Lancia Gamma utilisait d'ailleurs le même châssis que la CX.

Dernièrement, la fin des collaborations avec Mitsubishi, avec GM, avec Ford, avec BMW et avec FIAT ont porté un coup fatal à la crédibilité tant de la marque Peugeot, ainsi que de la marque Citroen. L'obstination de ce constructeur a présenter 2 gammes complètes se concurrençant en interne et la mauvaise idée de cibler le marché français ne pouvait que le conduire à la déroute.

Les mauvaises décisions prises à l'époque par les dirigeants, dues au ressentiment contre les Italiens, les Allemenads et les Anglais ont conduit la marque Peugeot et la marque Citroen à la faillite. Le groupe devrait prochainement se faire racheter par le Chinois Dongfeng et par l'Etat Français. Mais ce n'est plus le problème de la famille Peugeot, qui a placé son capital en Suisse en 1920 déjà et qui s'occupe de faire prospérer sa filiale FaureCIA aux États-Unis. 

Source : Internet (page mise à jour le (13/12/13)

GM appuie OPEL

Le Groupe américain GM décide d'abandonner la commercialisation des coréennes DAEWOO sous la marque CHEVROLET en Europe et dans le même temps décide d'abandonner sa participation dans la française PSA pour éviter de faire de l'ombre à OPEL.

Après son échec dans l'acquisition de l'ingénieurie de FIAT en 2005, le géant américain avait rebadgé les DAEWO sous la marque suisse CHEVROLET, avec l'intention d'en faire une marque mondiale. En voulant nuire à FIAT, avec une marque bon marché, c'est sa filiale européenne OPEL que GM a prétérité, malgré ses excellents produits. GM se rend compte aujourd'hui de son erreur et retire la marque coréenne d'Europe.

Pour empêcher le groupe FIAT de reprendre OPEL en 2009, le géant américain voulait la vendre à l'autrichien MAGNA. En voulant nuire à FIAT, c'est sa filiale européenne OPEL que GM a prétérité, car la reprise a lamentablement échoué.

Pour empêcher tout rapprochement entre le groupe FIAT et le groupe français PSA en 2011, le géant américain avait pris une participation dans ce groupe en faillite. En voulant nuire à FIAT, avec une marque bon marché, c'est sa filiale européenne OPEL que GM a prétérité, car aucune collaboration fructueuse n'a pu être trouvée avec ce groupe qui avait déjà échappé à FIAT.

OPEL peut voir maintenant son avenir européen s'éclaircir, car sa maison mère GM semble se concentrer sur son avenir. La marque possède d'excellents modèles élaborés avec l'aide de FIAT et ne subira plus de concurrence interne de DAEWOO/CHEVROLET.

La nouvelle OPEL ADAM espère concurrencer la 500, alors que l'OPEL COMBO est une FIAT DOBLO. L'OPEL ASTRA partageait moteurs et soubassement avec l'inoubliable FIAT STILO et l'OPEL SIGNUM partageait moteur et soubassement avec la regrettée FIAT CROMA II.

Source : Internet (page mise à jour le (13/12/13)

5 déc. 2013

Croissance de FPT

En 1947, VM Motori est créée à Cento.

En 1962, VM Motori ouvre un nouveau site industriel.

En 1971, VM Motori absorbe les "Stabilimenti Meccanici Triestini" de Trieste et forme Stabilimenti Meccanici VM SpA

En 1974, VM Motori sort le HR à régime moteur élevé.

En 1979, VM Motori équipe l'Alfetta diesel.

En 1983, VM Motori équipe la Giulietta diesel.

En 1985, VM Motori équipe la 75 diesel.

En 1986, (ALFA quitte le groupe Finmeccanica (IRI) et intègre FIAT).

En 1987, VM Motori équipe la 164 diesel.

En 1989, VM Motori quitte le groupe Finmeccanica (IRI).

En 1990, VM Motori sort le Turbotronic, utilisé par Ford, Chrysler, General Motors, Rover, Alfa Romeo.

En 1992, VM Motori équipe le Voyager.

En 1994, VM Motori équipe le Cherokee.

En 1995, VM Motori équipe la 155 diesel.
En 1995, VM Motori intègre le groupe Detroit Diesel Corporation (DDC)

En 1999, VM Motori équipe le Dakota.

En 2000, VM Motori intègre le groupe DaimlerChrysler avec Detroit Diesel Corporation (DDC).

En 2003, VM Motori intègre à 51% le groupe Penske Group.
   
En 2007, VM Motori intègre à 100% le groupe Penske Group.
En 2007, VM Motori intègre à 50% le groupe General Motors (GM).

En 2011, VM Motori intègre à 50% le groupe Fiat Powertrain Technologies (FPT)

En 2013, VM Motori intègre à 100% le groupe Fiat Powertrain Technologies (FPT).


Source : Internet (page actualisée le 05/12/2013)

25 mars 2013

Nissan sauve Renault

Sans le soutien de État français et du groupe japonais Nissan, le groupe Renault afficherait un déficit se chiffrant en millions d'Euros. Car, si la marque fétiche des Français a réussi à survivre jusqu’à ce jour, c’est uniquement grâce à ses participations dans le groupe japonais Nissan et dans la marque roumaine Dacia.  Le groupe nationalisé français Renault, qui avait sauvé de la faillite le groupe privé japonais Nissan, se voit aujourd'hui dépanné à son tour par le groupe qu'il avait redressé à l'époque.

Soutenu à 15% par l’Etat français, le groupe Renault,  a pu s'emparer en 1999 de deux marques étrangères : Nissan au Japon et Dacia en Roumanie. La participation de 43,4% du groupe français dans le groupe japonais Nissan avait entraîné la cession de 15 % de son capital aux Japonais. Par contre, la prise de contrôle de 99 % de la marque roumaine aurait du autoriser le groupe français à produire des Renault moins chères sous la marque Dacia. Mais comme les produits Dacia correspondirent aux attentes des consommateurs européens, la marque Dacia est devenue un concurrent interne de Renault. De plus, pour financer l'acquisition de Dacia, le groupe Renault a du vendre en 1999 sa profitable filiale automation au groupe FIAT, qui l'a intégrée dans sa filiale COMAU.

Déficitaire en Europe, le groupe Renault, détenu à 15% par l’Etat français et à 15% par le japonais Nissan, s'est néanmoins emparé en 2000 de 25 % de la marque LADA en Russie et de 80 % de la marque Samsung en Corée. Le rachat  de l’ancienne filiale russe du groupe FIAT aurait du autoriser le groupe français à produire des Renault moins chères sous la marque LADA pour les exporter vers Europe. Cette opération a contraint le groupe FIAT à collaborer en Russie avec ZIL,  Sberbank et TagAZ.
Soutenu à 15% par l’Etat français et à 15% par le japonais Nissan, le groupe Renault a du céder en 2001 deux filiales importantes en Europe : d'une part sa filale Renault Bus constituant 50 % de Irisbus, au groupe FIAT, et d'autre part sa filale Renault VI, constituant 50 % de Renault Trucks au groupe Volvo AB.

Malade en Europe, le groupe Renault, détenu à 15% par l’Etat français et à 15% par le japonais Nissan, a du céder en 2003 sa filiale filiales Tracteurs à l'allemand Klaas pour générer des liquidités.

Malade en Europe, le groupe Renault, détenu à 15% par l’Etat français et à 15% par le japonais Nissan, s'est néanmoins emparé en 2005 de 26 % de la filiale marocaine du groupe FIAT en 2005, portant sa participation dans SOMECA de 18 % à 54 %.

Malade en Europe, le groupe Renault, détenu à 15% par l’Etat français et à 15% par le japonais Nissan,  va investir en 2013 dans ses usines en Turquie, en Afrique, au Brésil et en Espagne. Au contraire de la Holding FIAT, qui se désengage de la Pologne pour se recentrer sur l'Italie, le groupe Renault, pourtant détenu à 15% par l’Etat français, va investir massivement dans ses usines africaines, qui exporteront vers l’Europe. Délaissant la Corée, le groupe Renault bâtit de nouvelles usines en Algérie.

Source : Internet (Page actualisée le 25/03/2013)

11 mars 2013

Errements de Citroen

 La firme automobile française Citroen a toujours privilégié la publicité et l'innovation, plutôt que la qualité et la fiabilité. Les anciennes campagnes publicitaires utilisées à outrance au début du siècle passé, ont toujours une influence sur l'opinion publique française, mais n'ont plus le même effet sur les marges ou le volume de vente. Mais pour quelles raisons alors, le matraquage publicitaire incessant opéré par l'allemande VAG lui a permis de s'imposer sur le marché mondial ? Pourquoi ces mêmes méthodes publicitaires agressives octroient une réputation flatteuse aux produits BMW et autorisent cette firme à vendre plus cher à qualité égale ? L'histoire de la marque Citroen explique ses trois déconfitures :

Période 1 / 3 : Seize ans de relatif succès en France, comme marque indépendante de 1918 à 1934.
 Au cours de l'année 1918, la firme peu scrupuleuse firme Citroen, qui s'était enrichie pendant la guerre en fabriquant les obus, ne se cantonne plus à la fabrication d'engrenages. Elle commet l’erreur de se lancer dans la construction automobile, alors qu'il existe déjà en France les fabricants Panhard-Levassor, DeDion-Bouton, Peugeot, Renault et SIMCA. Pour ce faire, la riche firme Citroen acquiert à grands frais le département d'automobile de la firme Mors, fondée en 1854 pour produire de l'équipement électrique.

Au cours de l'année 1923, la revancharde firme Citroen commet l’erreur d’expérimenter à grands frais la traversée du Sahara, pour rivaliser avec l'expédition saharienne de 1919, entreprise par la firme FIAT et couronnée de succès. La firme française voulait prouver au monde que les colonies d'exploitation de la France pouvaient également être desservies par des véhicules semi-chenillés (half-track), sans se préoccuper des frais qu'une pareille liaison engendre.

 Au cours de l'année 1924, la trop riche firme Citroen commet l’erreur d’expérimenter à grands frais en Afrique, un rallye-raid nommé Croisière Noire, pour rivaliser avec la firme Renault et pour assoir la domination française sur le continent africain. Cette expédition opère une véritable razzia du point de vue botanique, zoologique ou éthnique. Ces trophées, comprenant des êtres humains, seront présentés à l'Exposition coloniale internationale de Paris (France). Cette même année, elle commet l’erreur d’expérimenter à grands frais en France, la publicité lumineuse sur tour d’acier à Paris (France), sans se préoccuper des bénéfices qu'une pareille réalisation allait rapporter, ni des coûts qu'elle allait occasionner .

Au cours de l'année 1931, l'assoiffée firme Citroen commet l’erreur d’expérimenter à grands frais en Chine, un rallye-raid nommé Croisière Jaune, pour démontrer la supériorité technique des Européens sur les Asiatiques.

 Au cours de l'année 1933, la trop ambitieuse firme Citroen commet l’erreur d’expérimenter à grands frais la traction avant, pour rivaliser avec la firme anglaise Alvis, qui avait introduit cette nouveauté en 1928. La firme Citroen voulait aussi rivaliser avec la firme américaine Cord qui la commercialisait la depuis 1929. La firme Citroen, qui avait œuvré contre les Allemands pendant la guerre, s'opposait ainsi à la firme allemande DKW qui produisait des tractions avant depuis 1931. Alors que ces dernières firmes avaient renoncé devant le problème du sous-virage endémique et le problème des à-coups ressentis dans la direction, la glorieuse firme Citroen persiste dans cette voie. Partant du principe que seules les roues portant la masse sont capables d’une traction suffisante, la marque Citroen résout ces inconvénients par l'emploi de moteurs anémiques.

Période 2 / 3 : 40 ans de relatif succès en France, comme filiale de Michelin de 1934 à 1974.
 Au cours de l'année 1934, l'insatiable firme Citroen commet l’erreur d’expérimenter à grands frais au Canada, un rallye-raid nommé Croisière Blanche, mais échoue dans sa tentative. Cette même année, l'audacieuse firme Citroen commet l’erreur de lancer la Citroen A7 sans en avoir suffisamment testé les nouveautés qu'elle comportait : traction avant, structure monocoque, freins hydrauliques et suspension à roues indépendantes. Il s'en suivi des ruptures de cardans de transmission, des déformations de caisse, des bris de boîte de vitesse et des pannes moteurs, qui firent mauvaise presse à la voiture. Cette même année 1934, la mal gérée firme Citroen fait faillite une première fois, suite à ces multiples erreurs de gestion et suite à ses nombreuses tentatives publicitaires qui ont occasionnés trop de frais. Cette même année encore, elle est sauvée de la faillite par le fabricant Michelin, qui espère vendre plus de pneumatiques, nonobstant que la traction avant en engendre une l’usure accrue.

Au cours de l'année 1938, l'orgueilleuse firme Citroen associée à la firme Michelin, commet l’erreur d’expérimenter la 15 Traction avant à moteur six cylindres pour concurrencer les constructeurs automobiles déjà établis.

Au cours de l'année 1947, l'incompétente firme Citroen associée à la firme Michelin, commet l’erreur d’expérimenter à grands frais le moteur tournant à droite, nécessitant une nouvelle boîte de vitesse, qui n'était d'ailleurs pas exempte de défauts.

Au cours de l'année 1949, l'irréaliste firme Citroen associée à la firme Michelin, commet l’erreur d’expérimenter à grands frais la voiture minimaliste en tôle ondulée et ce véhicule ruinera à jamais la réputation de Citroen. Sa propension à rouiller, son bruit caractéristique et sa faible puissance lui firent attribuer le sobriquet de deuchpatte. Néanmoins, malgré son son moteur pétardant, son curieux levier de vitesse et sa tenue de cap sautillante, cette voiture reçu un succès d'estime de la part du public français.

Au cours de l'année 1954, l'ambitieuse firme Citroen associée à la firme Michelin, commet l’erreur d’expérimenter à grands frais la suspension arrière oléopneumatique sur l'obsolète modèle 15 de 1934.
Au cours de l'année 1955, l'ambitieuse firme Citroen associée à la firme Michelin, lance à grands frais le modèle DS à suspension hydropneumatique. Cette automobile dessinée par des Italiens possédait un capot aérodynamique interminable, mais sous ce capot un moteur ridicule. Par ces mouvements de caisse verticaux, sa carrosserie imposante et sa faible puissance, cette voiture tenait tout du paquebot. Néanmoins, malgré son absence de moteur, son coffre à bagage minuscule, ses phares jaunes, son curieux changement de vitesse au volant et son étrange tachymètre, cette voiture reçu néanmoins un succès d'estime de la part du public français.

Au cours de l'année 1965, pour disposer d'un milieu de gamme concurrentiel, la vorace firme Citroen associée à la firme Michelin, s'empare de la firme Panhard, pour obtenir le savoir faire indispensable en matière de petits moteurs bicylindre refroidis par air, en matière de carrosserie aérodynamique et en matière de carrosserie réalisée en alliage léger. Au cours de l'année 1967, soit deux ans plus tard, pour disposer d'une gamme de poids-lourds, l'ambitieuse firme Citroen commet l’erreur d’acquérir la firme Berliet, alors que ses finances chancelantes, ne le lui permettait plus.

Cette même année 1967, la malheureuse firme Citroen associée à la firme Michelin, commet alors l’erreur de se débarrasser de la marque Panhard et elles perdent une marque renommée, qui produisait des voitures révolutionnaires, légères, rapides et peu gourmandes, grâce à leur moteur refoidi par air et leur carrosserie en aluminium. Néanmoins, les deux firmes françaises conservent le bicylindre à refroidissement par air dans la 2CV et conservent la carrosserie aérodynamique dans la DS. Mais elles perdent eune connaissance indéniable en matière de carrosserie en alliage léger. Au cours de l'année 1968, soit un an plus tard, pour disposer d'une gamme de luxe et d'un moteur de prestige, l'ambitieuse firme Citroen associée à la firme Michelin, commet l’erreur d’acquérir la luxueuse firme Maserati, alors que ses finances sont chancelantes. Cette même année 1968, l'ambitieuse firme Citroen commet l’erreur de lancer la splendide SM à moteur V6 Maserati, au moment où la première crise du pétrole se profile.
Au cours de l'année 1968, la pauvre firme Citroen tente bien d'inverser le cours de l'histoire en s'associant avec le groupe FIAT au sein de PARDEVI. Au cours de l'année 1971, l'ambitieuse firme Citroen, associée à la firme Michelin commet l’erreur de lancer l'étude du moteur PRV avec les firmes Renault et Volvo. Cette même année 1971, l'ambitieuse firme Citroen, associée à la firme FIAT NSU, commet l’erreur de lancer la superbe GS, équipée d'un moteur Wrankel birotor, alors que la première crise du pétrole se profile.

Période 3 / 3 : 40 ans de relatif succès en France, comme filiale de Peugeot de 1974 à 2014.
Au cours de l'année 1974, soit quarante ans après sa reprise par Michelin, l'ambitieuse firme Citroen fait faillite une seconde fois, suite à ses nombreuses tentatives technologiques qui ont occasionnés trop de frais. Cette même année 1974, la déconfite firme Citroen commet l’erreur de se séparer de la firme Michelin, qui disposait 50% du capital et qui lui fournissait des pneumatiques et un réseau de distribution.
Au cours de cette même année 1974, la prétentieuse firme Citroen commet l’erreur de se séparer de la firme FIAT, qui disposait de 50% du capital et lui fournissait un réseau, des bases techniques, des moteurs performants, des carrosserie innovantes et des ingénieurs. Toujours au cours de l'année 1974, l'indécise firme Citroen commet l’erreur de s’associer au fabricant français de bicyclettes et de moulin à poivre Peugeot, qui la concurrence directement, que ce soit au niveau du marché, au niveau des segments de marché, au niveau des modèles ou au niveau des prix.
Au cours de l'année 1974 encore, l'ambitieuse firme Citroen commet l’erreur de se débarrasser de la firme Berliet, qui fabriquait des camions renommés. Cette même année 1974, l'ambitieuse firme Citroen commet l’erreur de se débarrasser de la firme Maserati, qui lui permettait de disposer de puissants moteurs V6 et d'un véritable haut de gamme avec la SM.
Cette même année 1974, l'ambitieuse firme Citroen commet encore l’erreur de se débarrasser de son siège historique du quai de Javel.

Au cours de l'année 1978, l'ambitieuse firme Citroen, associée à la firme Peugeot commet l’erreur d’acquérir la filiale SIMCA, que Chrysler avait rachetée à FIAT. Cette même année 1978, l'ambitieuse firme Citroen, associée à la firme Peugeot renomme cette troisième marque Talbot, mais offre alors de 3 gammes concurrentes sur le même marché. Cette même année 1978, l'ambitieuse firme Citroen, associée à la firme Peugeot s'associe avec le groupe FIAT au sein de SEVEL pour pallier à la disparition de Berliet. .

Au cours de l'année 1984, la misérable firme Citroen, associée à la firme Peugeot commet l’erreur de se débarrasser de la firme Talbot, qui produisait les innovantes Matra Simca Bagheera, la Matra Simca Rancho et Matra Simca Espace. Cette même année elle commet encore l’erreur de réaliser une perte de 8.5 milliards de Francs Français nouveaux, soit 850 milliards de Francs Français anciens, soit 1.3 milliards d'Euros actuels.

Néanmoins, au cours de l'année 1990, l'orgueilleuse firme Citroen, associée à la firme Peugeot retombe dans ses travers et commet l’erreur d’expérimenter à grands frais en Afrique, un peu écologique rallye-raid nommé Paris Dakar.

Au cours de l'année 2012, l'inconséquente firme Citroen, associée à la firme Peugeot doit cesser ses ventes en Iran à cause de l'embargo, faisant s'effondrer les ventes de 450'000 véhicules. De ce fait, elle réalise la même année une perte de 5 milliards d'Euros actuels, soit 30 milliards de Francs Français nouveaux, soit 3000 milliards de Francs Français anciens. C'est six fois plus de perte qu'en 1984, mais la marque Citroen fait maintenant partie du groupe PSA, qui possède une taille plus importante.
Au cours de l'année 2012, l'irréaliste firme Citroen, associée à la firme Peugeot commet l’erreur de céder 7% de son capital à son concurrent américain GM, alors que ce dernier rencontre lui-même des difficultés avec sa filiale européenne Opel. Cette même année, elle commet encore l’erreur d'accepter l'investissement de l'Etat français dans sa banque PSA Finance, en contradiction de la législation européenne.
Au cours de l'année 2012, l'irresponsable firme Citroen, associée à la firme Peugeot commet l’erreur de de sortir de l'indice boursier du CAC 40 français. Cette même année elle commet encore l’erreur de se débarrasser de son siège de prestige à l'avenue de la Grande Armée à Paris (France).
Au cours de l'année 2012, l'orgueilleuse firme Citroen, associée à la firme Peugeot commet l’erreur de perdre ses alliances tant avec BMW, qu'avec Mitsubishi pour les véhicules électriques. Cette même année, elle commet encore l’erreur de développer un système à air difficile à mettre au point et sans efficacité supplémentaire par rapport à d'autres techniques existantes, pour pouvoir bénéficier de subvention.
Au cours de de l'année 2012, la malheureuse firme Citroen, associée à la firme Peugeot commet l’erreur de perdre son alliance avec Ford pour les gros moteurs. Cette même année, elle commet encore l’erreur de perdre son alliance avec FIAT pour les véhicules utilitaires.
Au cours de l'année 2012, la malchanceuse firme Citroen, associée à la firme Peugeot commet l’erreur de vendre sa profitable filiale de transport GefCo aux chemins de fer russes. Cette même année elle commet encore l’erreur de vouloir fermer l'unité de production ultramoderne d'Aulnay-sous-Bois (France).


Source : Internet (page actualisée le 11/03/2013)

Errements de Citroen

 La firme automobile française Citroen a toujours privilégié la publicité et l'innovation, plutôt que la qualité et la fiabilité. Les anciennes campagnes publicitaires utilisées à outrance au début du siècle passé, ont toujours une influence sur l'opinion publique française, mais n'ont plus le même effet sur les marges ou le volume de vente. Mais pour quelles raisons alors, le matraquage publicitaire incessant opéré par l'allemande VAG lui a permis de s'imposer sur le marché mondial ? Pourquoi ces mêmes méthodes publicitaires agressives octroient une réputation flatteuse aux produits BMW et autorisent cette firme à vendre plus cher à qualité égale ? L'histoire de la marque Citroen explique ses trois déconfitures :

Période 1 / 3 : Seize ans de relatif succès en France, comme marque indépendante de 1918 à 1934.
 Au cours de l'année 1918, la firme peu scrupuleuse firme Citroen, qui s'était enrichie pendant la guerre en fabriquant les obus, ne se cantonne plus à la fabrication d'engrenages. Elle commet l’erreur de se lancer dans la construction automobile, alors qu'il existe déjà en France les fabricants Panhard-Levassor, DeDion-Bouton, Peugeot, Renault et SIMCA. Pour ce faire, la riche firme Citroen acquiert à grands frais le département d'automobile de la firme Mors, fondée en 1854 pour produire de l'équipement électrique.

Au cours de l'année 1923, la revancharde firme Citroen commet l’erreur d’expérimenter à grands frais la traversée du Sahara, pour rivaliser avec l'expédition saharienne de 1919, entreprise par la firme FIAT et couronnée de succès. La firme française voulait prouver au monde que les colonies d'exploitation de la France pouvaient également être desservies par des véhicules semi-chenillés (half-track), sans se préoccuper des frais qu'une pareille liaison engendre.

 Au cours de l'année 1924, la trop riche firme Citroen commet l’erreur d’expérimenter à grands frais en Afrique, un rallye-raid nommé Croisière Noire, pour rivaliser avec la firme Renault et pour assoir la domination française sur le continent africain. Cette expédition opère une véritable razzia du point de vue botanique, zoologique ou éthnique. Ces trophées, comprenant des êtres humains, seront présentés à l'Exposition coloniale internationale de Paris (France). Cette même année, elle commet l’erreur d’expérimenter à grands frais en France, la publicité lumineuse sur tour d’acier à Paris (France), sans se préoccuper des bénéfices qu'une pareille réalisation allait rapporter, ni des coûts qu'elle allait occasionner .

Au cours de l'année 1931, l'assoiffée firme Citroen commet l’erreur d’expérimenter à grands frais en Chine, un rallye-raid nommé Croisière Jaune, pour démontrer la supériorité technique des Européens sur les Asiatiques.

 Au cours de l'année 1933, la trop ambitieuse firme Citroen commet l’erreur d’expérimenter à grands frais la traction avant, pour rivaliser avec la firme anglaise Alvis, qui avait introduit cette nouveauté en 1928. La firme Citroen voulait aussi rivaliser avec la firme américaine Cord qui la commercialisait la depuis 1929. La firme Citroen, qui avait œuvré contre les Allemands pendant la guerre, s'opposait ainsi à la firme allemande DKW qui produisait des tractions avant depuis 1931. Alors que ces dernières firmes avaient renoncé devant le problème du sous-virage endémique et le problème des à-coups ressentis dans la direction, la glorieuse firme Citroen persiste dans cette voie. Partant du principe que seules les roues portant la masse sont capables d’une traction suffisante, la marque Citroen résout ces inconvénients par l'emploi de moteurs anémiques.

Période 2 / 3 : 40 ans de relatif succès en France, comme filiale de Michelin de 1934 à 1974.
 Au cours de l'année 1934, l'insatiable firme Citroen commet l’erreur d’expérimenter à grands frais au Canada, un rallye-raid nommé Croisière Blanche, mais échoue dans sa tentative. Cette même année, l'audacieuse firme Citroen commet l’erreur de lancer la Citroen A7 sans en avoir suffisamment testé les nouveautés qu'elle comportait : traction avant, structure monocoque, freins hydrauliques et suspension à roues indépendantes. Il s'en suivi des ruptures de cardans de transmission, des déformations de caisse, des bris de boîte de vitesse et des pannes moteurs, qui firent mauvaise presse à la voiture. Cette même année 1934, la mal gérée firme Citroen fait faillite une première fois, suite à ces multiples erreurs de gestion et suite à ses nombreuses tentatives publicitaires qui ont occasionnés trop de frais. Cette même année encore, elle est sauvée de la faillite par le fabricant Michelin, qui espère vendre plus de pneumatiques, nonobstant que la traction avant en engendre une l’usure accrue.

Au cours de l'année 1938, l'orgueilleuse firme Citroen associée à la firme Michelin, commet l’erreur d’expérimenter la 15 Traction avant à moteur six cylindres pour concurrencer les constructeurs automobiles déjà établis.

Au cours de l'année 1947, l'incompétente firme Citroen associée à la firme Michelin, commet l’erreur d’expérimenter à grands frais le moteur tournant à droite, nécessitant une nouvelle boîte de vitesse, qui n'était d'ailleurs pas exempte de défauts.

Au cours de l'année 1949, l'irréaliste firme Citroen associée à la firme Michelin, commet l’erreur d’expérimenter à grands frais la voiture minimaliste en tôle ondulée et ce véhicule ruinera à jamais la réputation de Citroen. Sa propension à rouiller, son bruit caractéristique et sa faible puissance lui firent attribuer le sobriquet de deuchpatte. Néanmoins, malgré son son moteur pétardant, son curieux levier de vitesse et sa tenue de cap sautillante, cette voiture reçu un succès d'estime de la part du public français.

Au cours de l'année 1954, l'ambitieuse firme Citroen associée à la firme Michelin, commet l’erreur d’expérimenter à grands frais la suspension arrière oléopneumatique sur l'obsolète modèle 15 de 1934.
Au cours de l'année 1955, l'ambitieuse firme Citroen associée à la firme Michelin, lance à grands frais le modèle DS à suspension hydropneumatique. Cette automobile dessinée par des Italiens possédait un capot aérodynamique interminable, mais sous ce capot un moteur ridicule. Par ces mouvements de caisse verticaux, sa carrosserie imposante et sa faible puissance, cette voiture tenait tout du paquebot. Néanmoins, malgré son absence de moteur, son coffre à bagage minuscule, ses phares jaunes, son curieux changement de vitesse au volant et son étrange tachymètre, cette voiture reçu néanmoins un succès d'estime de la part du public français.

Au cours de l'année 1965, pour disposer d'un milieu de gamme concurrentiel, la vorace firme Citroen associée à la firme Michelin, s'empare de la firme Panhard, pour obtenir le savoir faire indispensable en matière de petits moteurs bicylindre refroidis par air, en matière de carrosserie aérodynamique et en matière de carrosserie réalisée en alliage léger. Au cours de l'année 1967, soit deux ans plus tard, pour disposer d'une gamme de poids-lourds, l'ambitieuse firme Citroen commet l’erreur d’acquérir la firme Berliet, alors que ses finances chancelantes, ne le lui permettait plus.

Cette même année 1967, la malheureuse firme Citroen associée à la firme Michelin, commet alors l’erreur de se débarrasser de la marque Panhard et elles perdent une marque renommée, qui produisait des voitures révolutionnaires, légères, rapides et peu gourmandes, grâce à leur moteur refoidi par air et leur carrosserie en aluminium. Néanmoins, les deux firmes françaises conservent le bicylindre à refroidissement par air dans la 2CV et conservent la carrosserie aérodynamique dans la DS. Mais elles perdent eune connaissance indéniable en matière de carrosserie en alliage léger. Au cours de l'année 1968, soit un an plus tard, pour disposer d'une gamme de luxe et d'un moteur de prestige, l'ambitieuse firme Citroen associée à la firme Michelin, commet l’erreur d’acquérir la luxueuse firme Maserati, alors que ses finances sont chancelantes. Cette même année 1968, l'ambitieuse firme Citroen commet l’erreur de lancer la splendide SM à moteur V6 Maserati, au moment où la première crise du pétrole se profile.
Au cours de l'année 1968, la pauvre firme Citroen tente bien d'inverser le cours de l'histoire en s'associant avec le groupe FIAT au sein de PARDEVI. Au cours de l'année 1971, l'ambitieuse firme Citroen, associée à la firme Michelin commet l’erreur de lancer l'étude du moteur PRV avec les firmes Renault et Volvo. Cette même année 1971, l'ambitieuse firme Citroen, associée à la firme FIAT NSU, commet l’erreur de lancer la superbe GS, équipée d'un moteur Wrankel birotor, alors que la première crise du pétrole se profile.

Période 3 / 3 : 40 ans de relatif succès en France, comme filiale de Peugeot de 1974 à 2014.
Au cours de l'année 1974, soit quarante ans après sa reprise par Michelin, l'ambitieuse firme Citroen fait faillite une seconde fois, suite à ses nombreuses tentatives technologiques qui ont occasionnés trop de frais. Cette même année 1974, la déconfite firme Citroen commet l’erreur de se séparer de la firme Michelin, qui disposait 50% du capital et qui lui fournissait des pneumatiques et un réseau de distribution.
Au cours de cette même année 1974, la prétentieuse firme Citroen commet l’erreur de se séparer de la firme FIAT, qui disposait de 50% du capital et lui fournissait un réseau, des bases techniques, des moteurs performants, des carrosserie innovantes et des ingénieurs. Toujours au cours de l'année 1974, l'indécise firme Citroen commet l’erreur de s’associer au fabricant français de bicyclettes et de moulin à poivre Peugeot, qui la concurrence directement, que ce soit au niveau du marché, au niveau des segments de marché, au niveau des modèles ou au niveau des prix.
Au cours de l'année 1974 encore, l'ambitieuse firme Citroen commet l’erreur de se débarrasser de la firme Berliet, qui fabriquait des camions renommés. Cette même année 1974, l'ambitieuse firme Citroen commet l’erreur de se débarrasser de la firme Maserati, qui lui permettait de disposer de puissants moteurs V6 et d'un véritable haut de gamme avec la SM.
Cette même année 1974, l'ambitieuse firme Citroen commet encore l’erreur de se débarrasser de son siège historique du quai de Javel.

Au cours de l'année 1978, l'ambitieuse firme Citroen, associée à la firme Peugeot commet l’erreur d’acquérir la filiale SIMCA, que Chrysler avait rachetée à FIAT. Cette même année 1978, l'ambitieuse firme Citroen, associée à la firme Peugeot renomme cette troisième marque Talbot, mais offre alors de 3 gammes concurrentes sur le même marché. Cette même année 1978, l'ambitieuse firme Citroen, associée à la firme Peugeot s'associe avec le groupe FIAT au sein de SEVEL pour pallier à la disparition de Berliet. .

Au cours de l'année 1984, la misérable firme Citroen, associée à la firme Peugeot commet l’erreur de se débarrasser de la firme Talbot, qui produisait les innovantes Matra Simca Bagheera, la Matra Simca Rancho et Matra Simca Espace. Cette même année elle commet encore l’erreur de réaliser une perte de 8.5 milliards de Francs Français nouveaux, soit 850 milliards de Francs Français anciens, soit 1.3 milliards d'Euros actuels.

Néanmoins, au cours de l'année 1990, l'orgueilleuse firme Citroen, associée à la firme Peugeot retombe dans ses travers et commet l’erreur d’expérimenter à grands frais en Afrique, un peu écologique rallye-raid nommé Paris Dakar.

Au cours de l'année 2012, l'inconséquente firme Citroen, associée à la firme Peugeot doit cesser ses ventes en Iran à cause de l'embargo, faisant s'effondrer les ventes de 450'000 véhicules. De ce fait, elle réalise la même année une perte de 5 milliards d'Euros actuels, soit 30 milliards de Francs Français nouveaux, soit 3000 milliards de Francs Français anciens. C'est six fois plus de perte qu'en 1984, mais la marque Citroen fait maintenant partie du groupe PSA, qui possède une taille plus importante.
Au cours de l'année 2012, l'irréaliste firme Citroen, associée à la firme Peugeot commet l’erreur de céder 7% de son capital à son concurrent américain GM, alors que ce dernier rencontre lui-même des difficultés avec sa filiale européenne Opel. Cette même année, elle commet encore l’erreur d'accepter l'investissement de l'Etat français dans sa banque PSA Finance, en contradiction de la législation européenne.
Au cours de l'année 2012, l'irresponsable firme Citroen, associée à la firme Peugeot commet l’erreur de de sortir de l'indice boursier du CAC 40 français. Cette même année elle commet encore l’erreur de se débarrasser de son siège de prestige à l'avenue de la Grande Armée à Paris (France).
Au cours de l'année 2012, l'orgueilleuse firme Citroen, associée à la firme Peugeot commet l’erreur de perdre ses alliances tant avec BMW, qu'avec Mitsubishi pour les véhicules électriques. Cette même année, elle commet encore l’erreur de développer un système à air difficile à mettre au point et sans efficacité supplémentaire par rapport à d'autres techniques existantes, pour pouvoir bénéficier de subvention.
Au cours de de l'année 2012, la malheureuse firme Citroen, associée à la firme Peugeot commet l’erreur de perdre son alliance avec Ford pour les gros moteurs. Cette même année, elle commet encore l’erreur de perdre son alliance avec FIAT pour les véhicules utilitaires.
Au cours de l'année 2012, la malchanceuse firme Citroen, associée à la firme Peugeot commet l’erreur de vendre sa profitable filiale de transport GefCo aux chemins de fer russes. Cette même année elle commet encore l’erreur de vouloir fermer l'unité de production ultramoderne d'Aulnay-sous-Bois (France).


Source : Internet (page actualisée le 11/03/2013)

6 févr. 2013

Faillite de PSA

Tous les analystes le prédisent, la fin du groupe automobile français PSA Peugeot Citroen est proche ! Certains parlent même de 2015 pour la sortie du dernier véhicule. Les errements de la famille Peugeot risquent de conduire à la banqueroute cette société centenaire, qui a produit des lames de scie, des moulins à poivre puis des vélos, enfin des automobiles

Un début chaotique

La famille Peugeot fonde plusieurs entreprises :
Tout d'abord en 1850, les Etablissements Peugeot Frères pour des vélocipèdes, ensuite en 1892, les Fils de Peugeot Frères pour des automobiles et finalement en 1896, la Société des automobiles Peugeot. Ensuite, les Peugeot rassemblent les divers entités sous le nom de Société anonyme des automobiles et cycles Peugeot  en 1910. Puis la famille sépare les cycles Peugeot des automobiles Peugeot et cesse la fabrication des camions Peugeot en 1926. Trois ans plus tard, la famille Peugeot sauve les revenus générés par l'automobile et fonde en Suisse la holding Société financière et de participation (FFP)  en 1929.

Des acquisitions hasardeuses

En 1949, la famille Peugeot créée la société de transport GefCo comme concentration verticale et comme investissement stratégique des revenus générés par l'automobile.

En 1974, la famille Peugeot arrache la marque Citroen à son propriétaire Michelin. Or, grâce à l'appui du groupe FIAT, la filiale automobile du groupe Michelin commercialisait à l'époque les excellents modèles Citroen GS, CX, SM et s'apprêtait à renouveler sa gamme inférieure avec son projet Y basé sur la Fiat 127. Mais, comme la famille Peugeot se retrouve à produire deux gammes concurrentes, elle relègue l'innovante AXEL en Roumanie et oblige Citroen à reprendre le chassis de la 104 pour la VISA. D'autre part, pour favoriser la Peugeot 604 elle cesse la fabrication du haut de gamme Citroen SM, empêche le haut de gamme Citroen CX d'avoir son moteur V6 et remplace le moteur Wankel par un moteur Diesel.

En 1976, la famille Peugeot arrache la marque SIMCA à son propriétaire Chrysler. Cependant, l'ancienne filiale du groupe FIAT rachetée par le groupe Chrysler commercialisait à l'époque les excellents modèles SIMCA 1000, SIMCA 1100, qui avaient leur place sur le marché français. De ses précédent propriétaires, le groupe FIAT et le groupe Chrysler, la marque SIMCA avait en gestation dans ses cartons des concepts novateurs tels la Matra Simca Rancho, la Matra Simca Bagheera et la Matra Simca Espace. Mais, comme la famille Peugeot se retrouve à produire trois gammes concurrentes, elle interrompt la très réussie SIMCA 1000, basée sur la FIAT 850, remplace la SIMCA 1100 par la Talbot Horizon et vend le concept du monospace au groupe Renault.

Une fin chaotique

En 1984, la famille Peugeot fait disparaître la marque Talbot du catalogue, sans avoir pu en saisir les avancées technologiques. L'ancienne filiale du groupe FIAT en France cesse son activité et le concept du monospace passe à la concurrence, comme celui du tout terrain urbain.

Actuellement la plus riche de France, la famille Peugeot sauve les revenus générés par l'automobile et diversifie ses investissement :
En 1987, la famille Peugeot réunit AOP et cycles Peugeot pour former ECIA.
En 1997, la famille Peugeot crée l'équipementier automobile FaureCIA à partir de la filiale ECIA, auquel elle adjoint l'équipementier automobile Sommer-Allibert en 2001, l'équipementier automobile Emcon Technologies en 2009 et l'équipementier automobile Plastal en 2010.

En 2012, la famille Peugeot voit les ventes de PSA en Iran s'effondrer de 450000 véhicules à cause de l'embargo et PSA est éliminée de l'indice boursier du CAC 40 français.

En 2012, la famille Peugeot perd ses alliances avec d'autres constructeurs automobiles :
PSA perd son alliance avec Ford pour les moteurs, PSA perd son alliance avec FIAT pour les utilitaires, PSA perd son alliance avec BMW pour les véhicules électriques et PSA perd son alliance avec Mitsubishi pour les véhicules électriques.

En 2012, la famille Peugeot vend ses actifs :
PSA vend son siège de prestige à l'avenue de la Grande Armée à Paris en France et veut fermer l'unité de production d'Aulnay-sous-Bois également à Paris en France.

En 2012, la famille Peugeot vend ses participations :
La famille Peugeot vend 7% du capital de PSA au groupe américain GM, 75% du capital de sa filiale de transport GefCo aux chemins de fer russes et vend sa filiale d'investissement PSA Finance à l'Etat français, en contradiction des directives européennes.

Un des problèmes de PSA est qu'il s'obstine à présenter 2 gammes complètes de véhicules se faisant concurrence. Un autre problème est que PSA construit exclusivement pour des Français et se limite au marché français. Un autre problème encore est que PSA produit massivement des moteurs diesel polluants et des tractions avants. 

Pour éviter la faillite, il reste encore à la famille Peugeot la possibilité de vendre les 57,43 % qu'elle détient dans sa filiale Faurecia, ou les 90 % qu'elle détient dans sa filiale sa filiale Citroen automobiles, ou encore les 25 % qu'elle détient dans sa holding FFP. Ce qui semble préférable que de demander l'aide de l’État français ou des sacrifices aux collaborateurs des usines.


Source : Internet (page actualisée le 06/02/2013)

5 févr. 2013

Chrysler sauvé par FIAT

Les journalistes francophile monolingues avaient vivement critiqué en 2009 le sauvetage du groupe américain Chrysler par le groupe italien Fiat. Les journalistes francophones monolingues avaient également critiqué en 2011 le splitting du groupe italien Fiat en deux entités indépendantes. Mais le fait est que ces deux holdings génèrent actuellement des ventes et du bénéfice.
  • La holding FIAT Group commercialise les marques Chrysler, Dodge, Jeep, RAM et SRT aux Etats-Unis ainsi que les marques Fiat, Alfa, Lancia, Abarth, Maserati, Ferrari et Fiat Professional en Europe.
  • La holding Fiat Industrial sous les marques  IVECO, CNH et Iribus commercialise des poids-lourds, des machines de chantier, des machines d'agriculture sur les cinq continents.
Mais il faut bien réaliser que le groupe Fiat pour arriver à cette situation favorable, avait du dans les années 2000 se séparer de son prestigieux département ferroviaire, de son prestigieux département aérospacial et de ses alliances avec GM en Europe, avec Sollers en Russie et avec GAC en Chine. Le groupe avait cependant réussi à conserver son unité de moteur FPT, son unité d'équipement Magneti-Marelli, son unité robotique COMAU et son unité siderurgique TekSid.
  • Le 01 févr. 2012 , le site internet du journal français "La Tribune" s'étonnait dans sa rubrique d'actualités que le groupe italien Fiat tire ses bénéfices de sa filiale américaine Chrysler et que ce bénéfice atteigne 1,65 milliard d'euros au titre de 2011.
  • Le 26 avr. 2012, le site internet du journal suisse "20minutes" annonçait dans sa rubrique "Automobile" que le bénéfice net du groupe italien Fiat était multiplié par dix grâce à Chrysler et que le groupe pouvait s'appuier sur sa filiale américaine.
  • Le 26 avr. 2012, le site internet du journal vaudois "Le Matin" annonçait dans sa rubrique "Automobile" que le bénéfice du groupe automobile italien Fiat avait été multiplié par dix et avait bondi à 473 millions de dollars au premier trimestre grâce à la prise de contrôle du groupe l'américain Chrysler.
  • Le 26 avr. 2012, le site internet du journal belge "Les Echos" annonçait dans sa rubrique économique "Actualité et Entreprises" que le groupe automobile italien Fiat avait vu son bénéfice net multiplié par dix au premier trimestre grâce à la prise de contrôle du groupe américain Chrysler.
  • Le 27 avr. 2012, le site internet français "Caradisiac" s'étonnait du bénéfice à la hausse au premier trimestre 2012 grâce à Chrysler, alors que les résultats trimestriels sont loin d'être brillant pour la majorité des groupes automobiles.
  • Le 27 avr. 2012, la plateforme d'information et d'analyse du monde automobile "Unica-Strada"  claironnait que les résultats du premier trimestre 2012 viennent de tomber et le groupe Fiat peut avoir le sourire en annonçant un bénéfice net de 379 millions grâce à Chrysler et Fiat Industrial.
  • Le 26 juil. 2011, le site internet français "Turbo" annonçait des bénéfices et objectifs en nette hausse pour le groupe Fiat passant de 17 millions de pertes à 1237 milliard d'euros au deuxième trimestre 2010.
  • Le 30 juil. 2012, le site internet du journal français "Le Point" déplorait dans sa rubrique d'actualités "Auto-Addict" que la filiale américaine de l'italien Fiat sortait du rouge et renouait avec les bénéfices, car le constructeur automobile italo-américain Chrysler enregistrait un bénéfice net de 436 millions.
  • Le 29 oct. 2012, le site internet du journal français "La Tribune" s'étonnait dans sa rubrique d'actualités que le groupe américain, sauvé par le groupe italien Fiat en 2009, affiche un bénéfice net trimestriel en hausse de 80% et que les bénéfices de la filiale Chrysler s'envolent, sans mentionner les bonnes performances au Brésil et la consolidatation de Fiat Industrial.
  • Le 12 novembre 2012, la plateforme d'information et d'analyse du monde automobile "Inovev" annonce dans un billet que Chrysler réalise des bénéfices aux Etats-Unis, mais que Fiat creuse ses pertes en Europe, sans mentionner toutefois que Fiat reste en tête au Brésil.
Les journalistes français s'étonnent que le groupe Fiat soit premier au Brésil, quatrième aux Etats-Unis et en bonne position en Chine, en Russie et en Inde. Cependant, disposant d'une pléthore de marques et de nombreux marchés, le groupe Fiat réagit sainement en commercialisant ses nouveautés sur les marchés en pleine croissance. La marque Fiat en butte à une campagne de dénigrement systématique, combinée à une conjoncture très défavorable va se concentrer sur les segments A et B du marché pour laisser les segments C et D à Alfa et à Maserati. La marque Lancia s'est déjà combinée à Chrysler pour disposer d'une gamme complète de voiture prestigieuses.

Confronté à la situation économique morose en Europe, le groupe Fiat avait été contraint en 2011 de fermer Termini Immerese et de transférer la production de l'Ypsilon à Tychy en Pologne. Aujourd'hui, le groupe Fiat lance la production de la Panda III à Campiglio d'Arco et arrête la production de la Panda II à Tychy, pour n'y garder que la 500 et la Ford Ka.
Heureusement cependant pour le groupe Fiat que l'usine Turque Tofas, qui produit le Doblo pour Fiat, Opel, Peugeot et Citroen se porte bien et va l'introduire sous la marque RAM aux Etats-Unis.
Heureusement que l'usine de Val del Sangro produit le Ducato pour Fiat. Peugeot, Citroen en Europe et pour RAM aux Etats-Unis.
Heureusement Venezia Motori (VM) acheté en 2011 et 2012 produit des gros moteurs diesel pour toutes les marques du groupe.

2 févr. 2013

Croissance 2012

Grâce à sa brillante stratègie d'acquérir le groupe américain Chrysler, le groupe automobile italien Fiat a terminé l'année 2012 largement bénéficiaire. A la différence d'autres groupes englués dans le marasme européen, le constructeur turinois a dégagé en 2012 un bénéfice net de 1,411 milliard d'euros, supérieur aux attentes des analystes. Bien que FIAT détient actuellement  près des deux tiers de Chrysler et qu'il pense en acquérir la totalité d'ici 2015, il réaffirme sa fidélité à son Italie natale avec le rapatriement de la production de la Panda.

En hausse de 30% en Amérique du Nord, de 50% en Asie-Pacifique et battant des records au Brésil, Fiat a vu son chiffre d'affaires chuter de 10%. en Europe, Moyen-Orient et Afrique. L'Italie a même ramené à ses niveaux à ceux de 1979 avec une chute de 20% des ventes en 2012. Cependant, le groupe FIAT a réussi a augmenter sa part de marché à 21% avec 415000 véhicules et à la différence d'autres constructeurs, le groupe FIAT inauguration à Grugliasco d'une nouvelle usine, appelée à produire les nouvelles Maserati, l'une des marques de luxe du groupe avec Ferrari. Le groupe FIAT a écoulé plus de 700000 Jeep en 2012 et compte introduire cette marque en Chine, en Inde et en Russie.

En Chine, le Groupe Fiat Automobiles S.p.A. a créé  le 9 mars 2010 la société commune GAC Fiat Automobiles Co ltd. avec le Groupe Guangzhou Automobile Co. Ltd (GAC). Cette société située dans la Zone de Développement Economique et Technique de Changsha produit déjà la très réussie FIAT Viaggio ainsi que le fameux moteur FIAT 1.4 pour le marché local. Cette société commercialise d'autre part : FIAT Bravo, FIAT 500 et FIAT Freemont. Fiat Group Automobiles S.p.A et Guangzhou Automobile Group Co. Ltd. (GAC) vont intensifier leur coopération et introduire en Chine toute la gamme de modèles Jeep produit par Chrysler Group International LLC au cours de l'année 2013.

Au Brésil, le Groupe Fiat Automobile S.p.A. a dépassé en 2012 son record historique de production et de ventes, enregistrant sa meilleure performance au cours de ses 36 années de présence sur ce marché. La filiale FIAT Automoveis a écoulé 838.219 véhicules, en hausse de 11 % sur 2011 en hausse de 10 % sur 2010, confortant ainsi sa première place du marché brésilien pour la 11ème année consécutive. Cette meilleure performance en 36 ans de présence au Brésil autorise la filiale Brésilienne de FIAT Group auto de dépasser les 23 % de part de marché. Dans ce pays, la FIAT UNO s'est écoulée à 255149 et le FIAT Strada à 117464 exemplaires respectivement.

Dans le monde, la marque Jeep a établi en 2012 un nouveau record de ventes avec 701 626 unités écoulées, dépassant ainsi l'année 1999, où 675 494 unités s'étaient vendues. La nouvelle mouture du Grand Cherokee qui concurrence éfficacement le Range Rover s'est écoulé à 223 000 unités, alors que l'indéboulonnable Jeep Wrangler a dépassé au total les 194 000 exemplaires vendues. Profitant de cet engouement,  le Groupe Fiat Automobiles S.p.A. tranforme Jeep en instrument de conquête et va introduire la marque américaine en Inde, en Chine et en Russie.

La marque Alfa Romeo ne compte pas refaire l'erreur de la lignée 159, handicapée par un chassis Opel et un moteur Holden, qui l'alourdissait de 400 kg. Dans la lignée de la très réussie Alfetta, les nouvelles Alfa disposeront de chassis et de moteurs typiquements italiens développés par la filiale Ferrari. Une alliance avec Mazda doit déboucher dans un proche avenir sur une nouvelle MX-5 Miata / Spider Duetto.

La marque Lancia grâce à l'appui de Chrysler étoffe sa gamme et se développe en Allemagne et en Angleterre. La grosse Lancia Thema concurrence BMW et Mercedes avec succès. Le coupé Lancia Flavia, la familiale Lancia Delta et la citadine Ipsilon participent au renouveau de la marque.

La marque Fiat, en ces temps de morosité économique se concentre sur la 500 qui a déjà dépassé le million d'unités produites et sur la Panda, produite en Italie. La 500, qui est en passe de devenir une marque à part entière aux Etats-Unis sera développée en plusieurs variantes telles 500X, 500L, 500 XL, 500E, 500Z en plus de la 500C de base.

Aux Etats-Unis,  le fonds VEBA du syndicat automobile UAW, qui détient le tiers restant du capital de Chrysler, a récemment fait part de son intention de faire coter en Bourse une part de 16,6% d'actions de Chrysler. Comme les négociations avec Veba pour le rachat total de Chrysler Group International LLC se résument fondamentalement à une question d'argent Fiat devrait s'abstenir de verser un dividende à ses actionnaires, dans l'optique de maintenir un niveau de liquidités élevé.

Source : Internet (page actualisée le 02/02/2013)

10 janv. 2013

Rachat de PSA en question

 Pour éviter la faillite, les Français espèrent un rapprochement entre PSA Peugeot-Citroen et la holding Fiat Auto. Mais une telle fusion ne serait pas une bonne idée. En effet l'expérience historique engrangée par la holding Fiat Auto a prouvé que de travailler avec des Français a peu de chance de devenir une opération profitable, car les Français essayeront toujours de prendre le contrôle de l'ensemble commun.

 Avant le Marché Commun et la CEE, les fusions étaient considérées comme la clef de tous les problèmes du secteur automobile. Mais les exemples de collaborations ratées sont légions en ce domaine au delà des Alpes. Tout d'abord, il y eut la longue et triste histoire de la SIMCA, qui partit chez Chrysler et finit par mourir chez PSA. Ensuite, il y eut la tragique expérience PARDEVI avec la Citroen, qui partit chez PSA à cause d'un général mégalomane. Ensuite, il y eut la UNIC qui n'aboutit pas et se fondit dans la holding IVECO, devenue FIAT Industrial. A la même époque, la MAP connut ses lettre de noblesse avec la SOMECA et se fondit dans la holding FIATAGRI, devenue CNH, puis également FIAT Industrial. Dernièrement la collaboration SEVEL se termina en eau de boudin. Le seul succès veritable rencontre par la holding FIAT en France concerne l'IrisBUS, actuellement intégrée dans la holding FIAT Industrial. 

 La holding Fiat Auto a vécu une expérience douleureuse de fusion avec le groupe américain GM en 2000-2005 et cela devrait faire réfléchir à propos de GM et de PSA. En effet, les produits communs à FIAT et à GM, bien que d'excellente facture, ne rencontrèrent pas la demande attendue. Car le groupe américains n'eut de cesse de décrier la marque italienne dans l'optique de son rachat et tenta de s'approprier ses ingénieurs et son savoir-faire. La rupture de la collaboration avec les Américains entraîna pour la holding FIAT la perte de ses joint-ventures en Russie, en Chine et aux USA. Le seul avantage de cette fusion avortée fut l'ajout d'une nouvelle division moteur FPT à la division équipement Magnetti Marelli, à la division fonderie Teksid, et à la division robotique COMAU.

 Au contraire, l'acquisition du groupe américain Chrysler a apporté de nombreux avantages à la holding Fiat Auto, en terme de complémentarité notamment. En effet le groupe américain apporte son expertise en matière de haut de gamme et de tout-terrain à la holding Fiat Auto spécialisée dans les voitures compactes et sportives. La possession de Chrysler autorisera un développement prometteur en Inde, en Russie en Australie, en Chine en plus du retour sur le marché américain, que la holding Fiat Auto avait raté avec GM.

 De par sa structure modulaire souple, la holding Fiat Auto a de tout temps constitué le partenaire industriel incontournable dans le secteur automobile et rares sont les constructeurs auxquels on n’a pas prêté des velléités de rapprochement avec le constructeur italien. Outre SIMCA en France, la holding FIAT était à la base de la marque LADA en Russie, de la marque NSU en Allemaqne, de la marque KIA en Corée et de la marque SEAT en Espagne. Trop centré sur la péninsule italienne et les petits modèles à faible marge, la holding FIAT semble être une proie facile pour les grands groupes étrangers. Mais la holding FIAT auto possède cependant une position dominante au Brésil, une quatrième place aux États-Unis, des unités de production performantes en Pologne, en Turquie, en Serbie et en Argentine, qui produisent déjà pour Fiat, Ford, Opel, Peugeot ou Citroen.

 A la différence du rachat de Chrysler, le rachat de PSA ou RSA  n'est pas une bonne idée, car les groupes français sont des concurrents purs. le groupe français PSA a vendu moins de 3 millions de véhicules en 2012 alors que la holding Fiat Auto en a vendu plus de 4 millions. le groupes français affrontent la holding Fiat Auto sur tous segments du marché et peu de possibilité de synergies sont à prévoir. Ces groupes français ont peu de réseaux à l'international, sont faibles en matière de motorisation, de design, de tout-terrains et de haut de gamme. Identiquement, le rachat de PSA par Chrysler est une erreur et débouchera sur les mêmes conclusions.

Source : Internet (page actualisée le 10/01/2012)

8 janv. 2013

Obscurantisme français

La filiale Fiat Automoveis fondée en 1976 génère actuellement au Brésil le double de ventes de celles faites en Italie. Mais le journaliste français monolingue ne met volontairement volontairement pas en avant les records de vente au Brésil de la Holding Fiat Auto, car il préfère mettre le doigt sur la faiblesse de la demande en Italie.
La filiale Fiat Chrysler acquise en 2008 génère du profit et assure la bonne santé de la Holding Fiat Auto. Mais le journaliste français monolingue ne met volontairement pas en avant les records de vente aux Etats-Unis du groupe Fiat, car il préfère mettre en exergue les mauvaises ventes en Europe du groupe turinois.
Plutôt que de s'interroger sur le bien fondé d'une monnaie européenne unique, plutôt que de fustiger l'attitude détestables des Français et des Allemands vis-à-vis des voitures italiennes, le journaliste français joue à l'autiste et reste figé dans une approche francophone du problème économique européen.

Confrontée à l'hostilité européenne, la Holding Fiat Auto a agit intelligemment en favorisant les marchés en croissance et en négligeant l'Europe victime de sa monnaie unique surévaluée. Il est avéré que le journaliste francophone est responsable de la situation actuelle, car il a systématiquement utilisé des termes péjoratifs pour qualifier les produits italiens, ce qui a conduit la holding Fiat a se retirer du marché français.
Il faut se rappeler des coups bas qu'ont joué les Français à la Holding Fiat avec la disparition de la marque SIMCA en 1970 et avec le vol de la marque Citroën en 1975. Il faut se rappeler des coups bas qu'ont joués les Français à la Holding Fiat avec la disparition de la division SOMECA en 1983, avec la disparition de la marque UNIC en 1984. Plus récemment, il faut se rappeler des coup bas qu'ont joués les Français à la Holding Fiat avec la disparition de la division Ferroviaria en 2000, avec la disparition de la division AVIO en 2003 et avec la disparition de la marque LADA en 2008.

Confrontée à des journalistes germanophones qui ne jurent que par le "made in Germany", la Holding Fiat Auto agit intelligemment en introduisant des modèles américains rebadgés Lancia sur le marché allemand. Il faut se rappeler des coups bas qu'ont joués les Allemands à la Holding Fiat avec la reprise de la marque NSU en 1969 et avec la reprise de marque SEAT en 1982. Plus récemment, il faut se rappeler des coups bas qu'ont joués les Allemands à la Holding Fiat avec la reprise de la marque Lamborghini en 2009, la reprise du carrossier Italdesign en 2010 et la reprise de la marque Ducati en 2012.
Heureusement, la Holding Fiat Auto annonce une production et des ventes record au Brésil, son deuxième marché. En 2012, la firme de Torino a écoulé 838.219 véhicules au Brésil où il est incontestable leader, soit sa meilleure performance depuis 36 ans en hausse de 11% sur 2011 et 10,2% sur 2010. En tête du marché brésilien depuis plus de dix ans, grâce à la Uno et au Strada, Fiat a fait l'an dernier deux fois mieux que le marché brésilien en croissance de 6,1% à 3,63 millions d'unités. Avec une pénétration de 23%, il y devance l'Allemand VAG et l'Américain GM, qui vend des Daewoo sous la marque (ex-Suisse) Chevrolet.

Il faut se rappeler que le premier coup bas joué par les Américains à la Holding Fiat date de 1908 déjà, avec la disparition de la marque FMC. Plus récemment, il faut se rappeler des coups bas qu'ont joués les Américains à la Holding Fiat avec le groupe GM en 2005, avec la marque Opel ou la marque SAAB en 2009.
Heureusement, la Holding Fiat Auto annonce une production et des ventes record aux Etats-Unis, son premier marché. Chrysler y annonce une progression de ses ventes de 21% à 1,65 million de véhicules. Les cinq marques de la filiale du groupe de Turin ont toutes enregistré des progressions de leurs ventes en 2012, avec même un record mondial historique pour Jeep, le célèbre spécialiste du 4x4. La marque Fiat y remporte également un franc succès avec sa citadine chic 500. Belle revanche pour Fiat, qui va détenir 65,17% des parts de Chrysler, en exerçant une option pour acquérir 3,3% supplémentaires, car la filiale d'Auburn Hills enregistrait en décembre dernier son 33ème mois consécutif de croissance.

Confrontée à la baisse de 20% de son marché national italien, redescendu au niveau de 1979, la Holding Fiat conserve néanmoin 30% de ce marché porteur.  Mais comme la conjoncture s'améliore, la Holding Fiat Auto va prendre ses responsabilités et investir massivement dans ses usines italiennes, qui exporteront vers les Etats-Unis. Pour ce faire, la Holding Fiat Auto va développer autour de son modèle emblématique 500, qui a déjà dépassé le million d'exemplaire, une gamme complète de véhicules attractifs et ludiques. Ainsi, la Holding Fiat Auto va licencier dans son unité de production à Tychy en Pologne pour revitaliser son unité de production de Melfi en Italie.

Source : Internet (page actualisée le 08/01/2013)